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Le blog de blims

3 septembre 2011

Test L.A Noire

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Editeur : Rockstar
Développeur : Team Bondi

Type : Aventure/action

Multi-joueurs : non

Support : PS3/Xbox360 

 

 

 

Test L.A Noire

 

Là où L.A Noire échoue Heavy Rain réussi.

 

Même si ce jeu est signé Rockstar ce n’est pas eux qui l’on développés.  C’est la Team Bondi derrière. Les anciens de la Team Soho, ils on développé The Getaway. Un monde ouvert représentant Londres.

 

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L.A Noire nous plonge dans l’univers de Los Angeles des années 50. Dès qu’on lance la première partie  on incarne  un jeune flic qui s’appelle Cole Phleps qui patrouille en ville avec son partenaire. Les 4 premières missions servent essentiellement de tutorial. Par la suite on deviendra un inspecteur et on devra résoudre des affaires super faciles sans laisser au joueur le besoin de réfléchir. Dommage pour un jeu d’enquête.

 

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L.A Noire est un jeu d’enquête du style Point & click. Mais contrairement a un point & click, Il suffit de s’approché d’un indice pour que la manette vibre. Ensuite on appui sur croix (ps3). Et voilà un indice de plus pour l’enquête. Ensuite quand on a tous les indices nécessaire, soit une cinématique se lance soit notre partenaire nous dit qu’ont devraient rendre une petite visite a untel. Super cool j’ai résolu l’enquête et j’ai rien fais !

Ensuite quand on est chez le suspect, il fait toujours la même chose, il court ! On court derrière lui, mais on n’a pas le droit de le tué. En effet si on tue le suspect, c’est game over.  Bref le jeu est très dirigiste. On peu pas sortir notre arme quand on veut, on peu pas buté certain suspect, seulement quand c’est prévu pour le scénario. Autre chose aussi très scénarisé, c’est les courses poursuites en voitures. J’ai remarqué lorsqu’on rattrape trop tôt la voiture du suspect celle-ci ce met aussitôt a utilisé du boost. Bref on rattrape la voiture du suspect toujours lorsque c’est prévu et pas avant !

 

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Bon j’ai parlé de la récolte d’indice, de la poursuite de suspect mais j’ai gardé le meilleur pour la fin et je pense que c’est le seul élément réussi dans ce jeu, c’est les interrogatoires. Grace au scan motion et au travail des acteurs (de vrai acteur qui joue dans des films ou séries). Les 32 caméras utilisées pour la capture des visages permettent de bien voir les expressions du visage et d’agir en conséquence, lors des interrogatoires on a le choix entre doute, vérité ou mensonge. Et grâce à la motion scan on peu parfaitement lire cela sur leur visage. Les visages sont criants de réalisme et c’est une belle avancé dans le monde du jeu vidéo.

Même si les expressions du visage sont sublime et très réaliste, le jeu ne transmet jamais d’émotion et c’est bien dommage car cela enlève une grosse parti du potentielle du scan motion. En d’autre terme le jeu aurai pu devenir un thriller émotionnelle exceptionnelle au lieu de ça il se contente de resté un simple et basique thriller. Vraiment dommage ! On ne s’attache pas non plus au personnage principal, même si on voit des flashback durant la seconde guerre mondiale dans lequel Cole Phelps était un marine. Les Flashbacks sont surtout utilisés pour mieux comprendre les motivations des différents protagonistes. Je pense qu’il aurait fallu pour s’attaché au personnage Cole Phelps qu’on le voit dans sa vie de tout les jours, dans L.A Noire on le  voit jamais chez lui !

 

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Graphismes : 7/10 en ville : Aliasing, clipping, frame rate capricieu,… alors que dans les intérieurs c’est plutôt jolie et il y a pas mal de détail. Les visages sont sublimes.

Gameplay : 7/10 c’est assez lourd, le perso a une sorte d’inertie qui le rend pas très jouable. En phase véhicule c’est plutôt agréable. Le reste c’est un genre de point & click en 3d

Son : 8,5/10 les musiques sont bien (des musiques de l’époque) les voix sont en anglais (la vrai voix des acteurs) sous titré.

Histoires : 8/10 au total il y a 21 affaires chacune faisant évolution plus ou moins le scénario principal. Chaque affaire se boucle entre 45 minutes et 1h30 ! Donc le jeu se termine environ en une vingtaine d’heure.

Verdict : 6/10 Un jeu vidéo dans lequel on prend le joueur pour un décérébré mental incapable de réfléchir par ces propres moyens.

 Je conclu par cette phrase : Là où L.A Noire échoue Heavy rain réussi !

 

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29 août 2011

La planète des singes : les origines

 

19765980Date de sortie cinéma : 10 août 2011

Réalisé par Rupert Wyatt
Avec James Franco, Freida Pinto, John Lithgow, plus

Titre original : Rise of the Planet of the Apes
Long-métrage
américain . Genre : Science fiction , Action , Aventure
Durée : 01h50min Année de production : 2011
Distributeur : Twentieth Century Fox France

Synopsis : Dans un laboratoire, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Mais leurs essais ont des effets secondaires inattendus : ils découvrent que la substance utilisée permet d’augmenter radicalement l’activité cérébrale de leurs sujets. César, est alors le premier jeune chimpanzé faisant preuve d’une intelligence remarquable. Mais trahi par les humains qui l’entourent et en qui il avait confiance, il va mener le soulèvement de toute son espèce contre l’Homme dans un combat spectaculaire.

 

 

Mon avis : La planète des singes n’a rien à voir avec l’œuvre de Pierre Boule. Ici ces des scientifiques qui expérimentent un traitement expérimental sur des chimpanzés. Le traitement a pour ambition de guérir de la maladie d’Alzheimer. Le chef de se projet, Will Rodman, a surtout le désir de sauvé son père atteint d’Alzheimer. Il va recueillir chez lui un chimpanzé qui est né dans son labo et qu’il baptisera César et  l’éduquera comme son propre fils.

Le film dure sur une période de plusieurs année pour nous montré l’évolution du chimpanzé que Will Rodman essayera d’humanisé. Malheureusement on devine assez vite comment le film finira. Mais ce n’est pas la fin qui compte c’est le chemin pour y parvenir. Sur ce point le film propose une aventure sur l’évolution mais surtout sur l’émotion humaine.

 

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Durant ces 2 heures de film, l’émotion de ce chimpanzé est fidèlement retranscrit grâce a la motion capture et surtout au talent d’Andy Serkis (celui qui a fait Gollum dans la trilogie du Seigneur des Anneaux). Grace a lui on a vraiment l’impression d’avoir fait de César un personnage vivant. Surtout dans les yeux, le regard des chimpanzés. Mais il ne faut pas oublié surtout que les autres chimpanzés ont eu le droit aussi au même traitement. Tout les autres chimpanzés sont en motion capture aussi.

 

la-planete-des-singes-les-origines-de-rupert-wyatt-10511289gjaoy                                      Andy Serkis (César) durant le tournage de la planète des singes : les origines

 Mais il y a un petit bémol dans la motion capture. Il fonctionne tellement bien qu’on ne peut qu’applaudir le travail des acteurs derrière chaque chimpanzé. Leur travail nous donne vraiment l’illusion que ces chimpanzés sont bien réel. Au contraire des acteurs bien réels eux mais qui manque de charisme. On a le patron déshumanisé qui préfère l’argent au détriment de l’Homme. Le Père souffrant et son fils qui s’occupe de lui. Le gardien corrompu… et j’en passe. En clair le jeu d’acteur des chimpanzés sont tellement bien joué que ça fait ressortir les défauts des acteurs bien réels.

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Verdict : c’est un tout nouveau film de la planète des singes. Une nouvelle franchise. Un nouveau commencement. La fin présage une suite et j’ai hâte de voir le prochain film de la planète des singes. Donc c’est un bon début.

Ma note : 8/10

 

 

25 août 2011

Crime et Châtiment de Fiodor Dostoïevski

 

59755770Seul l'être capable d'indépendance spirituelle est digne des grandes entreprises. Tel Napoléon qui n'hésita pas à ouvrir le feu sur une foule désarmée, Raskolnikov, qui admire le grand homme, se place au-dessus du commun des mortels. Les considérations théoriques qui le poussent à tuer une vieille usurière cohabitent en s'opposant dans l'esprit du héros et constituent l'essence même du roman. Pour Raskolnikov, le crime qu'il va commettre n'est que justice envers les hommes en général et les pauvres qui se sont fait abusés en particulier. "Nous acceptons d'être criminels pour que la terre se couvre enfin d'innocents", écrira Albert Camus. Mais cet idéal d'humanité s'accorde mal avec la conscience de supériorité qui anime le héros, en qualité de "surhomme", il se situe au-delà du bien et du mal. Fomenté avec un sang-froid mêlé de mysticisme, le meurtre tourne pourtant à l'échec. Le maigre butin ne peut satisfaire son idéal de justice, tandis que le crime loin de l'élever de la masse, l'abaisse parmi les hommes. Raskolnikov finira par se rendre et accepter la condamnation, par-là même, il accèdera à la purification. Crime et Châtiment est le roman de la déchéance humaine, l'oeuvre essentielle du maître de la littérature russe. –

 

Mon avis : Raskolnikov est un jeune étudiant pauvre qui arrête ces études par manque d’argent mais qui espère devenir quelqu’un d’important et d’être élevée a la masse. Selon lui certaines personnes seraient dépourvues de la notion du bien et du mal car ils seraient l’élite de l’élite de la société et pour eux ces notions seraient vides de sens étant donné leur supériorité intellectuelle et spirituelle sur les autres personnes. Et Raskolnikov veut devenir l’une de ces personnes appartenant à l’élite. Malheureusement ces rêves de grandeur ne se réaliseront pas.

 

Mais un jour il aura une idée. Il va réaliser un acte que personnes n’osent accomplir. Assassiné une mégère et une sale rombière qui n’as pas beaucoup d’admirateurs. A partir de cet acte il espère qu’il aura la reconnaissance des autres mais le meurtre ne se passera pas comme prévu et le butin ramassé est une mince récompense.

 

Raskolnikov est en fait un schizophrène. Il a deux personnages en lui. Le premier c’est le personnage « pensant » et le 2ème c’est le personnage « acte ». C’est comme si, il détaché l’acte de la pensée, sa réflexion mène au meurtre mais il refuse de l'accomplir et là une pensée surgit qui présuppose une action "que ferait napoléon ?" .  De cette manière il se détache du crime qu’il va commetre et il ne se sent pas coupable.  Selon lui, il a fait ce qu’il fallait. Bien sur même si on comprend son acte affreux, on ne le pardonne pas. Mais on s’attache à ce personnage qui cherchera la rédemption et l’amour.

 

Verdict : un chef-d’œuvre de la littérature en général ; et pour cause c’est le premier livre avec comme personnage principal un meurtrier. Tout les personnages sont crédible et très bien travaillé (pas seulement le principal) ce livre est un monument. Bien écrit, mais surtout bien rythmée. Les phases de réflexion, de description et les dialogue, le tout s’emmêle et s’entremêle  d’une façon intelligente, qu’on s’ennui jamais a travers ces 500 pages. Bref un lire absolument. Par moment on a l’impression de lire des mémoires tellement cette œuvre de fiction parait crédible.

 

Ma note : 9.5/10 (j’enlève 0.5 parce que j’ai beaucoup de mal avec les noms russes, en plus d’être difficile a lire, c’est aussi difficile a s’en souvenir lol) sinon c’était un 10/10 !

19 août 2011

Contact

 

19721074Date de sortie cinéma : 17 septembre 1997

Réalisé par Robert Zemeckis
Avec
Jodie Foster, Matthew McConaughey, Tom Skerritt, plus

Long-métrage américain . Genre : Science fiction , Drame
Durée : 02h33min Année de production :
1997
Distributeur :
Warner Bros. France

1 nomination : Oscars / Academy Awards 1998 edition n° 70
>
Voir la nomination

Synopsis : Ellie Arroway, passionnée depuis sa plus tendre enfance par l'univers, est devenue une jeune et brillante astronome. Avec une petite équipe de chercheurs elle écoute le ciel et guette un signe d'intelligence extraterrestre. Un jour, ils captent un message.

Mon avis : Un film que j’ai vu au moins 3 ou 4 fois. Sa fait un moment que je l’ai pas revu et le dernier visionnage date de plusieurs année mais je vais essayer de vous donné d’abord un petit résumé d’après mes souvenirs…

Ellie Arroway est une jeune astronome ambitieuse qui rêve d’être la première a capté un message extraterrestre. Cette quête va l’amené un jour à découvrir un message provenant de l’espace et qui se répètent en boucle. De ce message, naitra un projet qui pourrait changer la vision de notre humanité.


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"Je capte enfin un signal ! je crois que c'est une chaîne pornographique extraterreste "

En réalité même si le film parle d’extraterrestre, de l’espace, il parle avant tout de la foi et de l’espoir. Croire en quelque chose dont personne ne veut y croire. C’est cela la vraie foi. La foi en quelque chose, à un projet que quiconque ne veut entreprendre et l’espoir qu’il se réalisera. Voilà avant tout le thème de ce film.

 

Verdict : un bon film mais malheureusement (et oui !) terni par la désagréable impression que ce film as été uniquement fait, réalisé, filmé, produit,… pour Jodie Foster ! En clair le film se concentre trop sur le personnage de Foster qu’on oubli aisément tout le reste.

 

Ma note : 8/10

17 juin 2011

Source code

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Date de sortie cinéma : 20 avril 2011
Film disponible en DVD le : 14 septembre 2011
Film disponible en Blu-ray le : 14 septembre 2011

Réalisé par Duncan Jones
Avec Jake Gyllenhaal, Michelle Monaghan, Vera Farmiga, plus

Long-métrage français , américain . Genre : Science fiction , Action , Thriller
Durée : 01h33min Année de production : 2011
Distributeur : SND

Synopsis : Colter Stevens se réveille en sursaut dans un train à destination de Chicago. Amnésique, il n’a aucun souvenir d’être monté dedans. Pire encore, les passagers du train se comportent avec lui avec familiarité alors qu’il ne les a jamais vus. Désorienté, il cherche à comprendre ce qui se passe mais une bombe explose tuant tout le monde à bord…

Mon avis : Colter Stevens est un pilote d’hélicoptère  a l’armée qui se réveil dans un train en face d’une jeune femme un peu trop familière avec lui alors qu’il n’avait jamais vu cette femme avant. Le seul souvenir qu’il avait c’été d’être en Afghanistan en train de piloté son hélico.

Un thriller SF bien mené grâce au système des 8 minutes plutôt convaincant. En effet Colter Stevens fait parti d’une expérience scientifique qui lui permet de revivre les 8 dernières minutes d’une personne décédé.  Sa mission est de découvrir le poseur de bombe et empêché que celui-ci puisse poser d’autre bombe dans le futur. Il revivra constamment c’est 8 dernière minutes tant qu’il n’aura pas trouvé l’identité du terroriste.


004-SC-0003ROh putain, où suis-je ? demain j'arrête l'alcool

Le film aurait pu être ennuyant du fait que le montage du film est un enchainement des 8 dernières minutes mais pas du tout à chaque retour il apprend un peu plus et il progresse. Mais Colter Stevens remarque quelque chose d’étrange a chaque voyage dans ces 8 dernières minute, lorsqu’il se réveil en face de la femme, elle lui dit a chaque fois quelque chose de différent. Si effectivement, il voyageait dans la mémoire d’une personne décédé, il n’y aurait aucun changement, hors là il y a clairement un changement. Et lorsqu’il le remarque, il va aussi essayer de sauvé les gens du train (pensant qu’il changera le futur).

Je trouve dommage que le film ne donne pas plus d’explication sur le code source. Ce dernier est au cœur du film pourtant. C’est une machine qui conserve les neurones d’un mort et qui stocke les 8 dernières minutes du mort et ensuite de les revivre grâce a une symbiose neuronale. En même temps sa évite des explications pseudo-scientifique et de nous faire notre propre opinion sur le code source.


source-code-6attention tout le monde, j'ai mes papiers d'identité !

Même si l’explication est minimaliste on comprend aisément le fonctionnement du code source. Celui ne nous renvoi pas au passé du défunt (les 8 minutes) mais dans un passé virtuellement créer a partir des souvenirs du mort. Et bien sur le passé ne sera jamais tel qu’il a été, étant donné que c’est quelqu’un d’autre qui le vit. En effet l’homme en mission (Colter Stevens) vivra toujours le même passé mais a chaque fois de manière différentes. Le temps étant quantique et non linéaire, le futur ne se détermine pas en fonction du présent, il est le résultat d’une infinité de possibilité. En d’autre terme, le film pose la question suivante : le temps est-il premier sur la loi de cause à effet ou bien la loi de cause à effet est première ?

La fin du film m’a laissé perplexe, tout le film nous dit que le déterminisme n’existe pas pourtant a la fin, le héros est devant un monument. Ce même monument qu’il verra dans des visions durant ces voyages. C’est comme si le film se trahissait lui-même. Rien n’est écrit mais pourtant regarde le destin existe. Ce n’est pas très cohérent tout ça.

Verdict : Un bon film, le côté pseudo-scientifique barbant est mit de côté pour laissé au spectateur apprécier  pleinement le film et faire son propre avis. Après Moon que j’ai particulièrement  apprécié Duncan Jones nous livre ici un film aussi bon. Décidemment  ce jeune réalisateur est plein de promesse. A surveillé de près.

Ma note : 8/10

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15 juin 2011

Sans identité

 

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Date de sortie cinéma : 2 mars 2011
Film disponible en DVD le : 19 juillet 2011
Film disponible en Blu-ray le : 19 juillet 2011

Réalisé par Jaume Collet-Serra
Avec Liam Neeson, Diane Kruger, January Jones, plus

Titre original : Unknown
Long-métrage français , britannique , canadien , japonais , allemand , américain . Genre : Thriller , Action
Durée : 01h50min Année de production : 2011
Distributeur : StudioCanal

Synopsis : Alors qu'il est à Berlin pour donner une conférence, un homme tombe dans le coma, victime d'un accident de voiture. Plus tard, une fois réveillé, il apprend qu’un autre homme a pris son identité et cherche à le tuer. Avec l’aide d’une jeune femme, il va tout mettre en œuvre pour prouver qui il est.

 

Mon avis : Le professeur Martin Harris se rend a Berlin en compagnie de sa tendre épouse Liz pour une conférence scientifique. Malheureusement quand ils arrivent à l’hôtel où ils doivent séjourner pendant la conférence, Martin réalise qu’il  oublié sa mallette à l’aéroport. Il prend un taxi et décide de faire demi-tour  pendant que sa femme s’occupe de la réservation à l’hôtel. Malheureusement durant le trajet jusqu’à l’aéroport, un fâcheux concourt de circonstance (un colis tombé d’un camion, hasard ou destin ?) vint bouleverser sa vie. Son taxi a un accident, il tombe à l’eau mais les ambulanciers arrivent in extremis. Mais il restera 4 jours dans le coma. A son réveil il décide de rejoindre sa femme à l' hôtel. Et c’est à moment là que le drame arrive. Arrivé à l’hôtel sa femme ne le reconnait même pas, pire un autre homme a prit sa place. Il essaie en vain de rappelé a sa femme la vie qu’ils ont eu ensemble. Sa femme fait mine de pas s’en souvenir. Après cette scène lui-même se pose des questions : est-ce que je suis fou ou bien c’est un complot dans lequel ma femme est forcée de dire certaine chose sous la contrainte ?

sans-identite-unknown-white-male-unknown-02-03-2011-4-gJ'adore les téléphones roses !

A partir de là le film on suit les diverses réflexions du protagoniste. Le film commence vraiment  et le suspense s’installe. Malheureusement durant tout le film, on imagine un grand complot gouvernemental pour arriver à une conclusion médiocre qui nous laisse perplexe.  Et merde tout ça pour ça !? Le bon côté c’est que au moins on si attend pas. C’est vrai bon la chute n’est pas spectaculaire certes mais elle reste inattendu. Pour moi sa reste une conclusion  de merde. Je m’attendais à mieux.

Sans-Identite_31470_4ddcbc187b9aa150e100f1e9_1306370505Yo man tu me cherche ?

Verdict : un film à voir pour ceux qui aime les thrillers, de l’action il y en a mais pas beaucoup (et très cour). Ou encore si vous avez aimé Taken ce film vous plaira sans doute aussi.

Ma note : 6.5/10

8 juin 2011

Confession d’un barjo de Philip Kindred Dick

 

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10/18
Robert Laffont (1978)
314 pages
(Confessions Of A Crap Artist, 1975) 

Roman, E.U

 

Jack Isidore a des théories fumeuses sur tout et une collection d'objets aussi farfelus qu'excentriques. Ce garçon est si inadapté à la réalité que, lors de leur déménagement dans la banlieue de Los Angeles, sa sœur Fay et son beau-frère Charley Hume se sentent obligés de l'héberger. Mais sous le regard de Jack, le vernis de la famille modèle se craquelle vite pour laisser exploser au grand jour les névroses de ses deux tuteurs... Entre paranoïa et amour fou, le génie de la science-fiction, Philip K. Dick, explore cette fois-ci un autre univers : la nébuleuse chaotique du mariage et de ses faux-semblants. Une histoire dans laquelle le plus " barjo " n'est certainement pas celui que l'on croit...

 

Mon avis : Jack Isidore est quelqu’un d’inadapté socialement. Il cherche sa place. Collectionne les revues SF. Et profondément troublé par les incohérences comportementales de la plupart des gens. A un moment on se demande même si ce n’est pas les autres les fous.

En fait Jack n’est pas fous c’est juste un incompris. Personne ne le comprend vraiment. Sa sœur ne l’aime pas vraiment et son beau frère le déteste mais il reste le frère de sa femme.

Les chapitres se découpent en plusieurs petits paragraphes où chaque personnage donne sa vision des choses. Ce qui donne au récit plusieurs points de vue.

Tout se détraque le jour où Charley Hume (le mari) prend conscience que sa femme le mène en bateau et profite de lui mais il y a un élément déclencheur et il va essayer de tué sa femme pour une raison complètement loufoque (que je ne dirai pas ici). Et c’est a ce moment là que Jack va essayer de savoir pourquoi il a voulu tué sa sœur, pourtant « de l’extérieur » le couple paraissait  heureux.

En fait pour Fay l’amour doit avoir un sens pratique, contrairement a son mari (Charley) qui lui est amoureux. Elle a besoin d’un mari alors elle en choisi un pour ses besoin d’argent ou s’occupé des corvées de  la maison, ce genre de chose. Elle profite de son mari. Et Charley Hume va vite devenir parano à cause du comportement de sa femme.

Verdict : Un livre court mais riche, du Dick quoi ! Même si ce n’est pas de la science- fiction on reconnait le style Dickien facilement. Toujours les mêmes thèmes récurrent chez Dick. Paranoïa, solitude, inadaptation,…

Ma note : 8.5/10

4 juin 2011

Terreur de Dan Simmons

 

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Au milieu du XIXe siècle, deux navires de la Marine royale anglaise se retrouvent coupés du monde, pris au piège des angoissantes ténèbres arctiques. Vétéran de l’exploration polaire, l’orgueilleux Sir John Franklin était pourtant convaincu de réussir à découvrir le mythique passage du Nord-Ouest, et d’assurer ainsi à l’Empire britannique une domination totale des mers. Mais l’entreprise, mal préparée, tourne vite au désastre : les navires Erebus et Terror sont faits prisonniers des glaces et Sir John meurt dans des circonstances dramatiques. Son second, le valeureux capitaine Francis Crozier, hérite alors du commandement d’une expédition en péril. Isolé dans cet enfer blanc, l’équipage est en butte aux assauts incessants d’une mystérieuse créature qui transforme la vie à bord en cauchemar… Délaissant, comme il le fait parfois, la science-fiction, Dan Simmons offre ici sa propre relecture d’un tragique et célèbre fait divers et livre un monumental roman historique d’une intensité dramatique et d’un souffle exceptionnels.

 

Mon avis : Un livre qui raconte l’aventure de la célèbre et tragique histoire de l’équipage des navires Erebus et du Terror. Alors qu’ils étaient partis pour découvrir le passage Nord-Ouest arctique, ils se perdent et 129 membres au total se retrouvent prisonniers dans la glace.

 Le commandant de l’expédition Sir John Franklin, le capitaine Fitzjames et son confrère le capitaine Crozier, croyant qu’ils étaient dans la bonne direction décidèrent de resté sur place. Pensant qu’un navire allé venir a leur secours. Mais ils ne furent jamais retrouvés (de leur vivant). D’ailleurs c’est grâce à la volonté de la veuve de Sir John Franklin que les navires furent retrouvés.

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L’histoire est racontée par plusieurs protagonistes. On a donc plusieurs visions différentes de l’histoire. Il y a Dr Goodsir, le capitaine Crozier, Fitzjames, Sir John Franklin, quelques membres de l’équipage... Avec, parfois des morceaux de journal intime de certains  personnages où ils racontent leur vie a bord du navire.

Terreur mélange 3 styles, le récit historique, l’aventure et le fantastique. D’ailleurs au niveau historique il y a un vrai travail de recherche de la part de l’auteur. Nom, lieu, équipage, problème nutritionnel, cannibalisme, alcoolisme,… tout est vrai.

Mais le plus intéressant dans ce récit c’est la façon dont Dan Simmons arrive à nous tenir en haleine dans ce froid glacial. Et c’est là qu’intervient le coté fantastique. L’équipage a l’impression d’être épié par une créature, qui se cache dans la neige. L’équipage croit qu’un lien étrange relie la créature et Lady Silence (elle ne parle jamais), une jeune fille que l’équipage a trouvée dans la glace.

 

Mais dans ce froid glacial, le pire danger ne vient pas de la neige. Alors que la nourriture se fait de plus en plus rare, l’Homme peut devenir la pire créature pour lui-même. Pour sa propre survie il est prêt à tout, même à perdre son humanité. Il devient un animal.

Verdict : Un livre idéal pour l’été. Un peu long mais je pense que c’est voulu par l’auteur, pour bien représenté ces quelques années d’emprisonnement dans la glace. On a quelque fois le rythme qui s’essouffle. Le début est un lent et ennuyant mais une fois que l’auteur a introduit l’atmosphère et la personnalité des protagonistes, l’histoire prend une tournure dramatique. Surtout lorsque Sir John meurt et que Crozier prend le commandement de l’expédition. Et devient à ce moment là intéressant.

Ma note : 8/10


3 juin 2011

TEST PORTAL 2

 

 

652Développeur : Valve

Type : FPS/Réflexion

Multi-joueurs : deux joueurs en coopération

Support : PC/PS3/Xbox360

 

On retrouve dans Portal 2 le même principe que dans Portal (sortie en 2007) on contrôle un personnage (féminin)  avec un Portal Gun capable de générer deux portails nous permettant de nous téléporté.

Le principe est assez simple et certain pourraient penser que le jeu est vite ennuyant  mais les niveaux sont tellement différents qu’on n’a pas l’impression de se retrouvé en face d’une énigme de « déjà vu ». Chaque salle de test a sa propre personnalité et sa propre difficulté. La difficulté augmente petit à petit mais jamais rien d’insurmontable ! Sa demande 5 minutes de réflexion lorsqu’on découvre une nouvelle salle mais les niveaux sont conçus de façon intelligente. Il y  a rien de futile ni de superflu, on doit utiliser tout ce qu’y se  trouve dans la salle de test et on voit assez rapidement ce qu’il faut faire. Ce n’est pas facile de décrire un puzzle en 3D.  Pour moi Valve a donné ici une leçon au autre développeur en termes de level design.

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Tout commence lorsque Chell (l’héroïne) se réveille et découvrir que Glados (un robot qui utilise des humains comme sujet de test pour les soumettre a ces salles de test) a négligé le centre de recherche. Aperture est en ruine et Chell va en profité pour essayé de s’enfuir du centre de recherche avec l’aide de Weathley.

Il faut aussi signalé que Chell ne parle pas. Mais a mon avis il y a plusieurs raison a ce choix. D’abord c’est un jeu qui a des répliques assez drôles et notre personnage est enfermé dans un immense labo. Je vois mal comment Chell pourrait rétorquer des blagues vu sa situation. Ensuite Chell est censé être un rat de laboratoire et faire tout ce que dit Glados. En clair elle n’a jamais rencontré d’autre humain ni parlé avec eux. Elle est enfermé depuis un certain temps et dors la plupart du temps elle est devenue un légume en quelque sorte.

Portal 2 a aussi pas mal d’ajout :

-          Le laser et le cube réflecteur : Le laser est un rayon qui permet d’ouvrir les portes ou détruire les tourelles et le cube réflecteur permet de dirigé le rayon du laser.

-          Le Halo d’Excursion : permet de ce déplacé dans le vide selon le sens de la direction du halo.

-          Les ponts de lumière : permet de créer des ponts ou encore d’arrêté les balles des tourelles.

-          Les gels : le gel bleu permet de sauté plus haut, le gel orange permet de courir plus vite et le gel blanc permet d’ouvrir des portails sur toutes les surfaces appliqué.

-          Le mode coop : Mode deux joueurs (écran splitté ou en réseau) avec ces propres salle de tests et son histoire aussi. 

Il y a vraiment pas mal de nouveauté sur ce Portal 2 !

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Le mode Multi offre pas mal d’heure en plus environ 6h de jeu et aussi une histoire. Ce n’est pas aussi soigné ou subtil que l’histoire solo mais il a le mérite d’existé.  Il est plutôt fun même quand on a fini toute les salles de test on y revient avec plaisir avec quelqu’un d’autre (le plus souvent on tombe sur quelqu’un qui découvre le mode multi).

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De plus si vous avez l’attention d’acquérir ce jeu sachez que la version PS3 est le meilleur choix. Avec la version ps3 vous pourrez télécharger le jeu gratuitement sur steam, et aussi sauvegardé votre partie sur steam cloud (même sur ps3)  et téléchargé vos sauvegarde sur n’importe quel pc. De plus c’est le seul jeu actuellement qui offre la possibilité de joué avec des joueurs pc depuis une console.

Graphisme : 7/10 Le moteur graphique date de plusieurs années mais sa n’enlève en rien le charme de Portal 2. C’est un style plutôt épuré. Sa me fait pensé a Mirror Edge.

Gameplay : 9/10 le gameplay est assez basique.  R1 et L1 pour deux portails un bleu et un orange. Mais la richesse du gameplay s’accroit petit à petit. On pourra mélanger deux gels par exemple le gel orange et le gel bleu pour sauté plus loin (vitesse accru + saut). Le jeu offre pas mal d’association.

Son : 9/10 Les voix française sont excellentes et j’ai appris tout récemment que les personnes qui font les voix française sont des professionnelles qui on déjà travaillé pour le cinéma ou la télévision. Les musiques sont dynamiques. Elle s’enclenche par exemple lorsqu’on place un laser pour ouvrir une porte. Sans doute pour indiqué au joueur qu’il est sur la bonne voie (super ce jeu de mot).

Histoire : 7/10  L’atmosphère du jeu est assez particulière et les différents protagonistes sont assez attachants. Il y a quelque rebondissement. Des scènes assez drôles. Surtout avec Weathley. Les dialogues sont très bien écrits. Sans doute l’un des meilleurs jeux qui offre une telle qualité dans ces dialogues (avec Heavy Rain ou Dragon Age Origin).

Verdict : un jeu vidéo qui rendra les autres productions fade et ennuyeuse. C’est sans doute sont plus grand défaut. Il vous fera oublié pendant un certain les autre jeux vidéo. Sans doute le Game Of The Year. Un jeu vidéo qui montre que le jeu vidéo peut aussi se hissé au rang de chef d’œuvre.

 

Ma note : 10/10 

21 juillet 2010

Ubik - Philip Kindred Dick

 

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Tous les thèmes de la S.-F. semblent s'être donné rendez-vous, dans Ubik, pour y être tournés, déformés, dévoilant ces questions ultimes : la télépathie, le voyage temporel ou la mort. Le foisonnement de l'imagination, la richesse et la complexité de l'intrigue sont un défi au résumé cohérent du monde où évolue Joe Chip, monde dans lequel on saute de 1992 à 1939, où les morts vivent en état d'animation suspendue, rêvant leurs pseudo-vies dans un univers onirique. Entre l'univers où le temps se dégrade et le monde instable des morts, Ubik est le piège final des réalités.

 

Mon avis : Un livre dont vous avez la sensation désagréable de ne jamais savoir où se situe la réalité et l'imaginaire. Tout ce mélange pour formé l'univers onirique d' Ubik (ubiquité).

 

Joe chip travaille dans une grande entreprise. Il doit allé sur la lune avec une équipe mais lorsqu' ils arrivent sur la lune, il y a une explosion. Runciter (son patron) est gravement blessé, alors l'expédition retourne sur terre pour le soigné. Mais arrivé sur terre  il se passe quelque choses. Certaine choses commencent a régressé jusqu'à devenir poussière et Joe Chip est le seul a s'en apercevoir. Il ne comprend pas ce qui se passe. 

 

Comment expliqué ces transformations ? Qu'elle est cette force qui fait régressé les objets ? Est-ce Jory ?  C' est quoi Ubik, cette chose qui semble être omniprésent et qui est le seule a pouvoir contré Jory ? Mais au fil de l'aventure toutes ces questions amène a une autre question métaphysique : si Dieu est capable de tout créer est-ce qu'il peut créer un monde dans lequel il n'as aucun pouvoir ? 

 

Voilà un de mes bouquins préféré. j'ai l'ai lu et relu au moins 5 ou 6 fois et que dire ? C' est incontestablement l'une des histoires les plus subtil et complexe de la littérature. Je ne comprend pas pourquoi il n'a pas encore été adapté au cinéma. Philip K. Dick avait même publié le scénario (écrit pour le cinéma) d' Ubik. Sachant qu'en plus ils ont déjà fait Blade Runner, Total recall, Minority report, Next, Paycheck... et plein d'autre en projet puisque le cinéma a racheté la totalité des droit de l'oeuvre de Philip K.Dick (160 nouvelles et 48 romans il y a de quoi faire!)

 

Ma note 9/10

 

 

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